Helixx C. Armageddon & Shanty Gallos feat. Kelly Finnigan – Circus Puppets and Parables video
2023/01/31
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2023/01/31
2023/01/31
Lyrics:
Verse 1
I cut everybody off
Fuck ‘‘em all
I don’t need ‘em
There’s no trust or real love
So so I treat em
Exactly just like this world
Has tread me
With fists of injustice
This world has beated me
Feeling weak like 7 days
Heaven stays on my brain
While we’re living in hell
Trying to stave off the pangs
Of hunger in my gut
I wonder what will come next
I choose to be alone
Cuz that’s how we face death
Taking breaths so for granted
Damit I caint waste steps
Feeling like I’m better off alone
Dealing with my mess
I confess
Yeah I’m scared
Yeah I’m scared of the dark
Dark places that I go to
Go without a spark
Knowing
Everybody Leaves
Everybody Leaves
Everybody Leaves me
Alone
Verse 2
It started off with my daddy
Sadly Willy didn’t want me
CPS came 2 get us
Now the system trying 2 dump me
On somebody front steps
But they don’t want the stress
Pass the buck off 2 Granny
But she ain’t got much left
I’m feeling sick
So I’m shipped 2 a home
Filled with hope
I’m a boy 12yrs old
Thinking “this ain’t hella dope!”
I’m alone now
Damn
My family gone
Wow
But I gotta
Be strong and grow up
To beat the odds
Don’t nobody care
That you ain’t have your pops
Or your moms
Better dry them tears up
Cuz it’s harder down the road
When you’re living with your lonesome
No kids feeling old
Feeling cold like a glacier
And you hate ya lonely self
Put your pride to the side
Or else you’re bound 2 feel it bad
My self cure for depression
Is making music plus a bag
I clutch and drag the nearest pen
My dearest friend let it go
You only hurt yourself
Holding pain in
And you should know
Chorus
Everybody Leaves
Everybody Leaves
Everybody Leaves me
Alone
2023/01/31
2023/01/27
C’est voulu c’est réglé comme du papier à musique
Entre nos fers, entre nos silences, entre nos douleurs névralgiques
Entre nos guerres de primates, entre chacals et babouins
Abois, fais peur, toi le cerbère du chagrin
Entre les portes à garder, porte le brassard
Comme un Chéchia rouge, un ordre, un coup de fouet et bouge,
C’est toujours le même prisme,
Toujours le même putain de pessimisme
Derrière le cynisme d’une brosse à reluire
Entre les poubelles à sortir, reste des chantiers à construire
A coup de parpaings dans la gueule plutôt
Entre nos ghettos, entre nos rapports brutaux
Gravés dans les gènes au couteau,
ADN crucifié, à quel animal se fier
Il y a que pour mourir sous le drapeau que t’es qualifié
Ce sourire, ce rythme dans la peau, sur le chemin des caféiers
Clandestin jusqu’au foyer, noyé, dans le noyau d’une machinerie,
Entre les griffes d’une galère, entre l’envie d’une mutinerie,
Derrière la paille et le crottin d’une écurie,
Poulet armé, pas bio ni Dakatine et curry
Hémoglobine et sanglots, il y a quelque chose de Gorée
Il n’y a rien à commémorer, la cage n’est même pas dorée
Derrière l’urgence d’une indigence volontaire
D’un profilage à la lueur des lanternes, d’un climat délétère
Entre ces murs, entre ces barrières, entre ces peines qu’on écope
Entre les drames, entre nous, Comment rester propre ?
Ce monde
Cette bouche
Ce cul de basse fosse
Cette ville, son or, ses putes en carrosse
Cette arène, ses pauvres, ses princes sous escorte
Cette taule, ses algorithmes, ses mouchards qui écoutent aux portes
Cette nasse, ses noyés, ses brûlés, ses fantômes
Ce terrain, cette orgie de psychotropes offerte aux mômes
Ce miroir, ces mirages, ces hypnoses sans réveil
Mes plongées dans ce fleuve et ma thune sèche au soleil
Ces vertus qui ne valent rien
Et ces vices que j’endosse
Ces femmes, ces formes, cette chair, ce cosmos
Mes créances, mes prêteurs
Mes yeux derrière l’épaule
Cette envie de tuer quand la parano m’immole
Mon âme, mon amour, prendras-tu soin de mes os ?
De mes colères ? Mes cocards ? Mes chemises de guérillero ?
La nuit est tombée dehors derrière les rideaux
Je repars au charbon façon méduse et radeau
Cette course, ses pièges, ses vainqueurs aux dents blanches
Ces morts de faim, ces pillards et mes jambes qui flanchent
Ce dédale, son pognon, ses cloisons étanches
Ce trou, ses fous, ses damnés et ma soif de revanche
Je me tire avec mon magot
Ils ont fermé la frontière
Un barrage un peu plus haut
Je prends la route en marche arrière
Je me crashe dans la glissière
C’était pas dans l’horoscope
Comment pas se faire mettre les fers ?
Comment rester propre ?
Ça pue ! Ça craint
Encore un temps de chien
Ça parle pour rien
Et sur le terre-plein
Un banc, un flash, un Vélib’ sans freins.
Au four, pas au moulin
A quelques mètres plus loin
Perdu au milieu
Un jet d’eau miteux
Qui pisse les jours d’Armistice ou les 21 juin.
Quand sous nos yeux
La pauvreté venue de l’est, ne recule devant rien.
Du 1er janvier à la Saint Sylvestre
Sur les côtes, les reins
Du genre touriste, Look d’Australien
D’humeur au selfie, au bras d’une belle fille.
Tu parles en quelle Langue ?
Sale pute ! Sale Tchoin !
Tsss ! Tiens !
La bouche sale, comme une poubelle percée
Les mains sales, sur des faux talbins, qui partent chez l’épicier.
A dix sur le cul d’un joint
Datant de la seconde guerre
Même pas 16 piges
Déjà la gueule de tes intestins
L’haleine d’un cimetière.
C’est quelques âmes en peine
Ou à peine des âmes, sur un bout de terrain.
Entre la bouche de métro, le kiosque et le marchand de gaufres.
Qui chauffe.
Ici rien ne t’appartient.
Tu peux tirer des pipes aux équipes d’anciens !
Revendiquer le même groupe sanguin !
A l’âge où tu crains les chatouilles.
Car au contact de la rouille
La plaie, qui chaque jour que Dieu fait
A vif, profonde, purulente, s’infecte, assume ce qu’elle est.
Tant que le virus n’entame pas le fœtus
D’un pouvoir qui marche en paix
Même à feu et à sang
Tout sera toujours fait
Pour sauver le cul de 2% de français.
Quant aux autres ?
Ils peuvent se baiser entre eux.
Mais à cent mille lieues de la salle des coffres
Puisque que les grandes fortunes sont faites d’infamie
Et les petites de saleté
Comment rester propre ?
2023/01/27
2023/01/27
2023/01/26
2023/01/26
2023/01/26
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2023/01/25